Organisation de l’ICL
Le directeur
Bruno ANDRIOLETTI a obtenu sa thèse en 1997 à l’Université de Bourgogne après un travail de synthèse concernant la modélisation du site actif de la cytochrome c-oxydase. Il a ensuite enchainé avec un stage post-doctoral de deux ans aux USA, période au cours de laquelle il s’est intéressé aux porphyrines étendues et à la reconnaissance moléculaire d’anions.
En 1999, à son retour des Etats Unis, il a intégré le CNRS en tant que chargé de Recherche pour se consacrer à la chimie des porphyrines et à la catalyse d’oxydation. Après une mutation de Paris à Lyon en 2007, il a été recruté comme Professeur des Universités en 2008 (Université Claude Bernard Lyon 1). Ses domaines d’activité s’inscrivent dans un cadre de chimie verte, et couvrent la synthèse (de ligands) et la catalyse, la valorisation de la biomasse (lignine, sucres,..) et la substitution des substances dangereuses dans le cadre général de REACH (substitution de solvants, de monomères toxiques,…)
La gouvernance
L’ICL est doté d’un Comité de Direction composé des directeurs des unités membres et d’un Comité de Direction Elargi aux responsables des plateformes.
Le premier rôle du Comité de Direction est de favoriser la mutualisation et la coordination des activités des différentes plateformes techniques, il s’appuie sur les Comités d’utilisateurs propres à chaque plateforme.
Le Comité de Direction examine aussi les programmes engagés par l’ICL, oriente les recherches à entreprendre et règle les questions budgétaires et financières.
L’ICL est également doté d’un Conseil Scientifique qui conseille et formule des recommandations sur les orientations scientifiques de l’ICL : le programme scientifique et technologique des actions mises en œuvre et sur la programmation de l’année à venir.
Le Conseil Scientifique a également pour mission de faire des recommandations sur les moyens financiers et humains déployés pour atteindre les objectifs définis.